La chenille, la pioche, et l'âne.
Ces deux photos illustrent mon activité en cet été qui se prolonge.
Cette pioche d'un autre âge, dont le manche est bien fragile, a repris un peu de labeur alors que sa place devrait être au musée du village. La moderne est pour un temps inutilisable, je l'ai écrasée par la chenille de la lourde machine. Les ânesses m'occupent aussi beaucoup, elles sont fugueuses; alors, souvent, dans la colline, je cours après. Ces jours, pour éviter qu'elles ne s'échappent encore, attachées elles sont.